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Feriel Benzouaoui
2014, 49’, Capricci films
Bloquée dans les embouteillages, Alger semble paralysée au regard de l’agitation qui règne dans les pays voisins en ces temps de printemps arabe. À bord d’un taxi collectif, les réactions des passagers
nous informent sur ce qui empêche d’avancer. Se dessine alors le portrait d’une ville agitée par une contestation sociale permanente, non violente. Ce mouvement est difficile à voir si ce n’est par son impact direct sur le trafic routier et le mode de circulation des habitants.
Alger, après est le journal filmé d’Alger, aujourd’hui.
En présence de Loanne Trevisan, monteuse du film et de Maurice Blanc, Professeur émérite, Laboratoire SAGE CNRS-Université de Strasbourg, Faculté des sciences sociales, Université de Strasbourg